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des arts et métiers, le chef des encyclopédistes suppléa, dans les différentes sciences, au nombre considérable d’articles qui manquaient : il eût été à souhaiter que, dans un ouvrage aussi étendu et d’un aussi grand usage, il eût renfermé plus d’instruction dans le moins d’espace possible, et qu’il eût été moins verbeux, moins dissertateur, moins enclin aux digressions ; on lui a encore reproché d’employer un langage scientifique sans trop de nécessité ; d’avoir recours à une métaphysique souvent inintelligible, qui l’a fait appeler le