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rale, belles-lettres, il embrassa tout dès qu’il put lire avec réflexion : son imagination ardente et élevée paraissait le porter à la poésie ; mais il la négligea pour les sciences exactes.

Il se fixa de bonne heure à Paris, où l’éloquence naturelle qui animait sa conversation lui fit des partisans et des protecteurs.

Ce qui commença sa réputation fut un petit recueil de Pensées Philosophiques, réimprimé quelque temps après sous le titre d’Étrennes aux Esprits