Page:Coupey - Muse des enfants, 1875.pdf/112

Cette page n’a pas encore été corrigée
108
MUSE DES ENFANTS.

J’aime les pleurs de la rosée, J’aime la brise du matin, J’aime sur la nue irisée Voir éclore un beau jour serein. Mais ce que j’aime avec ivresse, Avec amour, bonheur et foi, D’une sainte et douce tendresse, Enfant, c’est toi !

) J’aime la nuit aux sombres voiles Couronnant sa divinité De son diadème d’étoiles, Pour éclairer l’immensité. Mais ce que j’aime avec ivresse, Avec amour, bonheur et foi, D’une sainte et douce tendresse, Enfant, c’est toi !