Page:Correspondance d’Eulalie, 1785.djvu/340

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 120 )

Un inſtrument guerrier
Vous donne mon dernier ;
Et mon tout à la gêne,
Miron ton, ton, ton, mirontaine ;
En claſſe, plus qu’en plaine
Tient le pauvre écolier.


Pour cette fois je te ne dirai pas le mot de la charade, ainſi tâche de le deviner, ou ſi tu ne le peux, prie que j’aye bientôt à t’écrire pour le ſavoir. Adieu, ma bonne amie, crois que malgré cette méchanceté que j’ai de vouloir te mettre l’eſprit à la torture, je ne t’en aime pas moins pour la vie. Ton eſpiégle.

Lettre de Mademoiſelle Victorine.
Paris, ce 13 Juillet 1783.


Le Dru, ma bonne amie, que tu connois ſous le nom de Comus et qui a ſi long-tems captivé l’admiration des curieux par des ſubtilités que

lui