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SUR PIERRE CORNEILLE. lxi

vouloir tirer ici aucun avantage des applaudissements qu'il recevoit dans le public ? Au contraire, après avoir paru en maître et, pour ainsi dire, régné sur la scène, il venolt, disciple docile, chercher à s'instruire dans nos assemblées ; lalssolt, pour me servir de ses propres termes, laissoit ses lau- riers à la porte de l'Académie' ; toujours prêt à soumettre son opinion à l'avis d'autrul, et de tous tant que nous sommes, le plus modeste à parler, à prononcer, je dis même sur des ma- tières de poésie. »

��Laisse en entrant ici tes lauriers à la porte.

(Horace, vers 1876, tome III, p. S^a.)

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