Page:Corneille - Marty-Laveaux 1910 tome 1.djvu/403

Cette page n’a pas encore été corrigée

Caliste

N’en doute plus, mon cœur, un amant hypocrite

Feignant de m’adorer, brûle pour Hippolyte :

Dorise m’en a dit le secret rendez-vous

Où leur naissante ardeur se cache aux yeux de tous ;

Et pour les y surprendre elle m’y doit conduire,

Sitôt que le soleil commencera de luire.