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Chapitre 

XVIII. Qu’il faut souffrir avec patience les misères temporelles à l’exemple de Jésus-Christ 

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XIX. De la véritable patience 

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XX. De l’aveu de la propre infirmité et des misères de cette vie 

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XXI. Qu’il faut se reposer en Dieu par-dessus tous les biens et tous les dons de la nature et de la grâce 

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XXII. Qu’il faut conserver le souvenir de la multitude des bienfaits de Dieu 

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XXIII. De quatre points fort importants pour acquérir la paix 

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XXIV. Qu’il ne faut point avoir de curiosité pour les actions d’autrui 

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XXV. En quoi consiste la véritable paix  

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XXVI. Des excellences de l’âme libre  

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XXVII. Que l’amour-propre nous détourne du souverain bien  

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XXVIII. Contre les langues médisantes 

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XXIX. Comment il faut invoquer Dieu et le bénir aux approches de la tribulation 

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XXX. Comment il faut demander le secours de Dieu 

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XXXI. Du mépris de toutes les créatures pour s’élever au Créateur 

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XXXII. Qu’il faut renoncer à soi-même et à toutes sortes de convoitises 

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XXXIII. De l’instabilité du cœur, et de l’intention finale qu’il faut dresser vers Dieu  

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XXXIV. Que celui qui aime Dieu le goûte en toutes choses et par-dessus toutes choses 

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XXXV. Que durant cette vie on n’est jamais en sûreté contre les tentations 

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XXXVI. Contre les vains jugements des hommes 

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XXXVII. De la pure et entière résignation de soi-même pour obtenir la liberté du cœur 

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XXXVIII. De la bonne conduite aux choses extérieures, et du recours à Dieu dans les périls 

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