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teux PHILO S*OPHE. ’ f teux, des choses mauuaifcs.ni se fouil % 1er, en charnelles conciipifcences.dêquelles procèdent les débats, & les X * 1t. aens.e.y. guerres, entre les Chrétiens, c ; ».»*«/<>/-Mais retournons à Adrian, lequel t’î&T. étant en toutes disciplines excellente ment dofte, & bien exercité : ne se AUpre. 9 • » » • • mitre des plailoitenrien tant, qu a ratiociner, ci>rm, b, i$. parler, & disputer, aucq les plus fçauants, de choses hautes, &profondes. leur proposant fouuenreffois, questions obscurcs, ambiguës, & fort perplexes, comme il fit en son voiage d’Aegtptc, aux professeurs d’Aléxandric. & peu après àEpiftéte, le phi lofophe.dêquclles i’en ai par bonne fortune, trouué en vn petit caier, affcmblees soixante & trezc. que i’ai cftimé dignes, d’être rendues, en notre vulgaire, à fin que des bel’cs, & mémorables sentences, qui brieſue-