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cinq ans. Mais quoique ces changemens consistent principalement en suppressions, ils n’ont pas paru tourner à l’avantage du récit qui est devenu un peu sec et décharné. Les développemens de mœurs, les particularités qui se montrent dans les conversations sont ce que M. Davis a cru devoir abréger, et c’est justement là ce qui fait rechercher ces petites compositions avec plus d’intérêt, et ce qui les fait lire avec plus de curiosité. C’est, pour faire éviter l’ennui, un grand moyen que d’être court ; mais il ne faut pas en abuser.

A. R.


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