entièrement remplacé enfin celle des fluxions, Brinkley reçut de l’Académie Royale d’Irlande la médaille de Conyngham.
des Irish Transactions.)
Les cas exceptionnels qu’offrent diverses intégrales, quand on donne certaines valeurs particulières aux constantes qu’elles renferment, ont excité les méditations des géomètres. Brinkley traite à son tour ce sujet en s’appuyant sur des considérations qui lui semblent plus rigoureuses que celles dont Lagrange avait fait usage.
Les observations faites à Greenwich, par M. Pond, avec le cercle mural de Troughton, n’ayant pas confirmé, quant à la parallaxe, les résultats déduits des observations du grand cercle mobile de Dublin, Brinkley se livre, dans ce mémoire, à un examen minutieux de toutes les erreurs auxquelles les muraux exposent les astronomes. C’est pour le fond et pour la forme, un modèle de discussion. Le mémoire renferme, en outre, de nouvelles déterminations de parallaxe basées sur l’ensemble des observations faites à Dublin, de 1808 à 1818. Brinkley trouve :
Pour la Lyre |
0″,66 |
Pour du Cygne |
0,78 |
Pour de l’Aigle |
2,53 |
Pour du Dragon |
0,00 |
(J’appelle toujours parallaxe, l’angle soutendu par le rayon de l’orbite terrestre.)
D’après 16 solstices d’été observés par MM. Oriani, Pond, Arago, Ma-