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Le dm- eiles qui cache étincelle de feu,

l’un- lr- c-qmirs i!iVli> qui mm’ iiir’in lit :i Dit-il.

Et l’humaine mis.Ve

Qui va l’éteindre enfin au sein de Dieu le père !

HEDDERWICK (JAMES). L’Atteste du Vaisseau. Sur les cailloux tantôt il errait, et tantôt Flânait sur la jetée, on bien tantôt encore Pur le eap le plus pmcln-, il grimpait, et bientôt Fouillait dans l’horizon du couchant à l’aurore, Par le temps m-lndcux cnuiiie par le temps clair, Epiant la nature, analysant la mer, Dévorant tont de l’œil, demandant à l’espace Le vaisseau désiré dont il cherchait la trace.

Sitôt que naissait l’aube aui ailes d’Alcyon,

Planant sur la uritui ■ imuinlûl,- t--t muette,

A travers l’océan pointait sa vision,

Son œil avait le dard perçant d’une mouette;

Cependant que bercés par le Ibis mollement

Les bateaux des pêcheurs donnaient profondément,

Qui’ soiimitilhicnt an*ni les maisi-.ns, les moutajm’s.

Que le silence oiseux régnait sur les campagnes.

Au milieu du babil des homme-, des gamins, Dit rire s’éehappant de la lèvre des femmes, Quand les travaux du jour du bruit de leurs engins Ajoutait la musique au bruit strident des lames, Son âme chevauchant sur l’horizon lointain Là bas ! là bas ! là bas ! se frayait un chemin, Des vaisseaux arrivant énurnérant la troupe, Et pour les visiter allant de poupe en poupe.

Parmi le gris du soir il plongeait le regard Sur le ciel obscurci quand pointillaît l’étoile. Kclaircissant parfois le limpide brouillard Oui jetait sur la mer un mystérieux voile; Car l’étoile pour lui c’était l’ange de Dieu De ’il d…..-e lueur éclairant le ciel bleu ;