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Si la doctrine dont je parle, ne produit pas de plus grands effets moraux chés la plupart de ceux qui la professent, l’attribuerai-je à son imperfection ou au défaut de motifs suffisants ? Mais ; connois-je aucune doctrine dont les principes tendent plus directement au bonheur de la société universelle, & à celui de ses membres ? En est-il aucune, qui présente des motifs plus propres à influer sur l’esprit & sur le cœur ? Elle élève l’homme mortel jusqu’au trône de Dieu, & porte ses espérances jusques dans l’éternité.

Mais ; en promulguant cette loi sublime,