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Si pourtant je cherchois à infirmer ces aveux, par la considération de la croyance à la magie, qui étoit alors généralement répandue ; il n’en demeureroit pas moins probable, que ces faits que les adversaires attribuoient à la magie, étoient vrais ou qu’au moins ces adversaires les reconnoissoient pour vrais : car on n’attribue pas une cause à des faits qu’on croit faux : mais ; on nie des faits qu’on croit faux, & on en prouve la fausseté si on a les moyens de le faire.

Le 11 de février 1769.

PARTIE 19