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Nous ne sçaurions assigner le point précis où finit l’échelle de l’animalité. Nous avons vu dans la partie IV de cette palingénésie, qu’il n’est point du tout démontré que les plantes soyent absolument insensibles : si elles ne l’étoient point en effet, l’échelle de l’animalité se prolongeroit fort au delà du point où nous présumions qu’elle finissoit.

La nature est comme cette image que présente le