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Bravo ! merci ! bravo ! ― Devant l’altier fleuron
Qu’on verra désormais resplendir à ton front
Mon cœur français s’enflamme et mon âme est en fête.

Et, parce que mon nom à ton livre est scellé,
Je sens, moi qu’un désert sans palmes a brûlé,
L’ombre de tes lauriers descendre sur ma tête.