Page:Chambrier - Au delà (Fischbacher 1886).djvu/17

Cette page a été validée par deux contributeurs.

dresse n’est jamais vulgaire ; l’accent est toujours si vrai, si intime, si touchant dans les poésies de cette pauvre enfant, qu’on y sent son âme comme à nu, et c’est une riche et belle âme.

Veuillez agréer, Monsieur et cher confrère, l’assurance de ma sympathie dévouée.


SULLY PRUDHOMME