énergie ? Nourrissez-le toujours bien, surtout dès son jeune âge. On sait que celui qui a peu de terres arables les réserve pour sa famille, récolte peu ou point de grains et n’en donne presque jamais à son élève ; aussi, ferons-nous appel à l’homme fortuné. Ce sera à lui à faire comprendre que la machine vivante que nous avons appelée cheval perd beaucoup de sa valeur quand elle poche par la base ; que la prospérité de l’agriculture dépend surtout du mode d’élevage des poulains ; à faire voir, enfin, que ce n’est ni par des exorcismes, ni par des invocations à des puissances imaginaires que l’on peut conserver ou rectifier les aplombs dès le jeune âge, pas plus qu’on ne peut faire disparaître les maladies contagieuses, mais bien par l’alimentation : nous voulons dire une alimentation bien entendue.
E.C. | D. P. |