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POÉSIES DE CHARPENTIER 9 CONTES : 285 Que ce rameau béni protège ta demeure (L’ANGE ET LE RAMEAU). T’ai-je vu chez mon père (RÉPONDS-MOI). Mon seul amour I embrasse-moi (LE DERNIER RENDEZ-VOUS). D’où vient-il, ce bouquet oublié sur la pierre ? (LE BOUQUET SOUS LA CROIX). Quand les cloches du soir, dans leur lente volée (LES CLOCHES DU SOIR). Un étranger vint un jour au bocage (LE NOM D’OLIVIER). Avec l’aube, toujours ta plainte me réveille (L’IDIOT). J’étais enfant, l’enfance est écouteuse (A MES SCEURS). Prête à s’élancer, joyeuse (L’HIRONDELLE ET LE ROSSIGNOL). Au fond d’une vallée où s’éveillaient les fleurs (LES DEUX ABEILLES). Humble fille de l’air, mouche bleue et gentille (LA MOUCHE BLEUE). Un ruisseau, frais enfant d’une source cachée (LE DERVICHE ET LE RUISSEAU). Juin parfumait la nuit, et la nuit transparente (LE VER LUISANT). Las des fleurs, épuisé de ses longues amours (LE PAPILLON MALADE). Tremblante, prise au piège et respirant à peine (LA SOURIS CHEZ UN JUGE). 36 PIÈCES extraites des Pleurs et de Pauvres fleurs : Vois-tu, d’un cœur de femme, il faut avoir pitié (RÉVÉLATION). De la colombe au bois, c’est le ramier fidèle (LA VIE ET LA MORT DU RAMIER). Quand je ne te vois pas, le temps m’accable, et l’heure (L’ATTENTE). Et toi, dors-tu quand la nuit est si belle (DORS-TU ?) Souvent toute plongée au fond de ma tendresse (LES MOTS TRISTES). Malheur à moi ! je ne sais plus lui plaire (MALHEUR À MOII) Sans signer, ma tristesse, un jour, au seul que j’aime (LA JALOUSE). Sais-tu qu’une part de ma vie (NE VIENS PAS TROP TARD !) Et toi, crois-tu comme eux le ciel inexorable ? (PARDON). Vous aussi, vous m’avez trompée (LES AILES D’ANGE). Autant que moi-même (L’ADIEU TOUT BAS). C’est qu’ils parlaient de toi, loin du cercle assise (RÉVEIL).