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mais Hérodote (V, 184) attribue aux Atarantes qui habitent à dix journées de marche des Garamantes la coutume rapportée ici.

3. Cf. XII Genitur. (V, 522) : laboraui perpetuo defluuio pituitae insipidae a cerebro ad uentriculum et hoc etiam ab utroque parente haereditarium fuit.

CHAPITRE XIII

1. Cf. Luc, XVII, 11-19.

2. Aristote, Polit., l. I.

3. Voir chap. LIII.

4. Chap. XXX.

CHAPITRE XIV

1. Ce trait est raconté par Diogène Laërce, VI, 2, 23.

2. Marc-Antonio Bragadino (1523-18 août 1571) défendit Famagoste contre les Turcs qui, après la reddition, mirent à la torture sous ses yeux ses compagnons d’armes et le supplicièrent ensuite.

3. J’interprète tout ce passage comme se rapportant à la mort du fils de Cardan. Le secours surnaturel auquel il fait allusion quelques lignes plus bas est sans doute celui dont il parlera au chap. XLIII.

4. Chap. XXX. — Sur l’académie degli Affidati on peut voir Tiraboschi, Stor. lett. ital., VII, 190, et Salza, Luca Contile, uomo di lettere e di negozi del secolo XVI (Firenze, 1905, pp. 92 sqq.). Fondée en 1562 par treize gentilshommes, elle était encore florissante au xviiie siècle après avoir subi une courte interruption de 1576 à 1597. Parmi les grands seigneurs qui en faisaient partie on cite le duc de Suessa, le marquis de Pescara, parmi les cardinaux Charles Borromée, parmi les savants plusieurs collègues de Cardan comme Branda, Delfino, Zaffiro, etc. Le roi d’Espagne Philippe II accepta de figurer parmi ses membres.

CHAPITRE XV

1. Ce fut l’éditeur du premier ouvrage scientifique de Cardan : Hieronymi Castillionei Cardani, medici mediolanensis, De malo recentiorum medicorum usu, libellus… Eiusdem libellus de semplicium medicinarum noxa. Venise, 1536. Cf. De libris propriis (I, 61, 65, 67). Scotto publia aussi plus tard De consolatione libri tres, Venise, 1642.

2. Voir chap. XL.

CHAPITRE XVII

1. Sur l’opposition que rencontra la candidature de Cardan à Bologne et dont elle ne triompha que grâce à la protection obstinée du cardinal Borromée,