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Il est mort, le bienfaiteur de notre pays, — Le prêtre de la bonté, il est mort, — Le meilleur secours des marins, — Il est allé au tombeau, le Père des pauvres.

Malheureux pauvres de cette paroisse, — Comment ferez-vous maintenant, — Sans celui-là qui donnait quand il vivait — De la nourriture à votre corps et à votre âme ?

Qui écoutera vos plaintes ? — Qui ira sécher vos larmes ? — Hélas ! quand vous serez dans la peine, — Pour vous consoler il n’y aura plus personne.

À vous allait, en vérité, — La plus grande partie de son avoir, — Puisque Dieu vous l’a retiré, — Qui trouverez-vous à sa place ?