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La patelle sait s’accrocher : — Du rocher qui la porte, — rien ne pourra la séparer  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .  .

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Eh bien ! il n’y a rien de plus vrai : Comme la patelle à la roche — Mon cœur vous est attaché !