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Larmes de désespoir immense, — Que j’ai versées — Au cours de ces jours là si durs ; — Soyez bénies tout de même, — Car vous m’avez donné la Vue ! Larmes de désespoir immense — De mon passé !…

…Et maintenant que dirai-je, — Puisque Vous savez tout ? Mon bonheur terrestre perdu, — J’ai été au séminaire, à l’armée, J’ai voyagé sous Votre soleil. — Et maintenant que dirai-je, — Devant mon Dieu ?

Que Vous dirai-je, ô Dieu juste, — Océan de bonté ? — Le lait de la pauvreté est amer ;