Viens avec moi, et je vais le dire ce que tu as à faire. Je crains qu’elle ne sorte pendant ce temps-là.
Je voudrais, mon seigneur, vous soumettre quelques observations.
C’est inutile ; ma résolution est prise, et je ne saurais avoir une meilleure occasion. Le déguisement, la nuit, le bruit, tout me sert, tout me favorise, tout concourt à mon bonheur. Non, non, tu n’as rien à me dire, et je n’ai rien à entendre. Marchons.
Oui, mes amis, nous pouvons danser ici. Ce jour est consacré à la folie.
Rions, chantons et dansons ; le carnaval est un temps de folies.
Cela est de mauvais augure, Flora ; la première troupe que mous rencontrons est composée de fous.
Au contraire, madame ; il me semble que c’était la troupe qui nous convenait le mieux, et nous pouvons nous y mêler sans crainte de nous y faire remarquer.
Rions, chantons et dansons, etc., etc.
Allons d’un autre côté.
Quittons ce quadrille, Flora.
Un moment, masque, s’il vous plaît ; j’entends que vous dansiez avec moi.
Quelle fâcheuse rencontre !
C’est en vain que nous avons cherché à le fuir.
Crois-tu qu’il m’ait reconnue ?
Ne vous en inquiétez pas.
Quel est donc celui-ci ?