que le cavalier retenu ici prisonnier à cause de moi ne s’appelait pas don César ! Aussi il m’arrive à votre égard ce qui vous arrive à vous-même à cause de moi ; car de même que vous avez cru que ma démarche…
Je vous ai cherchée par toute la maison. Doña Serafina demande après vous.
Allons ; car elle serait au désespoir si elle soupçonnait que je suis entrée ici. (À don César.) Réfléchissez à tout ce que je vous ai dit.
Sans y réfléchir davantage, je vous crois.
Pourquoi ?
Parce que je désirais trop de ne pas vous trouver coupable.
Coupable de quoi ?
D’ingratitude.
D’ingratitude ! envers qui ?
Envers l’homme qui vous adore.
Alors vous pouvez être satisfait.
Flora ? Violante ?
Voilà qu’on vous appelle encore.
Adieu.
Adieu.
Scène II.
Il y a assez long-temps que j’ai jeté ma lettre dans l’appartement de don César, et il était chez lui, si je ne me trompe… Nous verrons s’il vengera doña Serafina, ou si je me vengerai d’elle et de lui… Il