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leur peut faire de belles et touchantes applications, pour que l’on ait pas besoin d’emprunter les expressions d’un poëte profane pour les placer sur un tombeau chrétien.

Comme chef d’une école secondaire, M. Fleurizelle pouvoit, mieux que personne, employer le style convenable à une inscription funèbre. Je ne prétends point faire ici une critique littéraire ; mais je réclame les droits de la religion, dont le langage doit se faire lire sur les tombeau, comme il se fait entendre dans nos temples.