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C’est la fin de mes luttes vaines
Dont le souvenir me poursuit,
Des amertumes et des haines…
Voici la Nuit, la Nuit, la Nuit !

Plus de deuil, de pleurs, plus de bruit !
Salut à la Nuit solennelle !
Enveloppe-moi de ton aile,
Ô Nuit d’amour ! Immense Nuit !


Lausanne, 27 novembre 1886.