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PRÉFACE.


1. C’est encore d’après Sâyana que je traduis mtrm d’une autre manière que Golebrooke, suivant lequel ce mot signifie « gou*^ « verné par f instinct. • Voici la glose de Sàyana : « Cest par le moyen de Tatmos* < phère que Vàyu est la divinité des troupeaux, comme cela résulte du Bràhmana « du Yadjurvéda, qui dit : Vdya est certaine’  « ment le souverain de Vatmôsphère ; or Tatmosphère est la divinité des troupeaux ; « ce sont les vents qui les enveloppent. • Il faut scander, au second Pàda, 91^ ou irriH^ï, et au cpiatrième mi^OTsr ou mf^zov. Cette stanoe est la sixième dans le Yadjurvéda qui litirT^n^mr » leçon que je préfère à celle du RIgvéda ; m^iRn : i ;

2. Sâyana traduit 3inrT^ par « qui a deux « rangées de dents, Tune supérieure et rautre « inférieure, » conmie font KuUûka commentant Tadjectif SMQTh^ de Manu (1. 1, st. 39)-, et Ânquetil, d’après le traducteur persan [Oapnekhal, t. II, p. 3^7). Cette

stance est la huitième dans le Yadjurvéda. Au second Pâda, il faut scander 9 3)Ym^ :, en résolvant le Samdhi, d’après la rediarque du D’A » Kuhn. (Zeitsehrift Jàr die Kunde des Morgenland. t. III, p. 79.)

3. Il faut scander, au i*’Pàda.fShir^ : ou {âo^it et au 2*, (okvcAf^^ ou lakêicMfn*. Cette stance est la dixième dans le Yadjurvéda, qui la lit ainsi : ajjS fih*l « HMl(lj5f « T| 4^1^*

^ Il &ut scander, au 2* Pàda, ^nr^ : ou ^T ! ri^ :  ; au 4* « on remarquera la conservation de la voyelle a, précédée d’un 6. Cette stMice est la onzième dans la rédaction du Yadjurvéda.

4. La seconde remarque de la note précédente s’applique également au 2* Pftda de cette stance. Au 3* Pàda, il fiiut scander W vfi^nET. Cette stance est la douzième dans le Yadjurvéda, qui donne ainsi les deux derniers Pâdas : jtfM i <.i^iM mtfTBr tyKli)(f » aff « De ses oreilles naquit et le vent et le « souffle ; de sa bouche, le feu. »