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enfants leur mère, leur arrachent la vie et dévorent la chair qui leur est parente. — R. P. 184 b.

138. Epuisant leur vie avec l’airain.

139. Malheur à moi, que le jour impitoyable de la mort ne m’ait pas anéanti avant que j’accomplisse avec mes lèvres les œuvres mauvaises de la voracité ! — R. P. 184 b.

140. S’abstenir tout à fait des feuilles de laurier.

141. Misérables, derniers des misérables, gardez vos mains des fèves !

142. Le palais, recouvert d’un toit, de Zeus qui tient l’égide ne le réjouira jamais, non plus que la maison de...

143. Lavez-vous les mains, prenant l’eau des cinq sources dans le bronze inflexible. — R. P. 184 c.

144. Jeûnez de la méchanceté ! — R. P. 184 c.

145. C’est pourquoi vous êtes saisis par la dure perversité, et ne voulez pas délivrer vos âmes des misérables soucis.

146. 147. Mais, enfin, ils apparaissent parmi les hommes mortels comme prophètes, poètes, médecins et princes ; et ensuite ils s’élèvent au rang de dieux comblés d’honneurs, participant au foyer des autres dieux et à la même table, libres des misères humaines, assurés contre la destinée et à l’abri des offenses. — R. P. 181 c.

148. ...La terre qui enveloppe l’homme.