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Sais-tu ce que je vois dans les nuits ? Ton étreinte au fond d’un autre corps.
Et mes jours longs s’embrument de ces visions funestes…
Ô Sylvius, rends-moi le soleil !
Sais-tu ce que je vois dans les nuits ? Ton étreinte au fond d’un autre corps.
Et mes jours longs s’embrument de ces visions funestes…
Ô Sylvius, rends-moi le soleil !