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Longtemps j’ai marché, la route était solitaire ; inconsciente et douloureuse je m’enfonçais dans la nuit.
J’avais laissé mon cœur dans ta poitrine.
Longtemps j’ai marché, la route était solitaire ; inconsciente et douloureuse je m’enfonçais dans la nuit.
J’avais laissé mon cœur dans ta poitrine.