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ques naissent des tubercules dont sa surface est couverte, et se prolongent à la distance de plusieurs pieds. On y voit, de a en b, la dépression adjacente à l’axe ligneux excentrique interne a ; de b en c, cet axe est mis à découvert par l’enlèvement d’une portion du grès. Cette partie de l’axe a été dessinée d’après un échantillon du muséum d’Oxford. — Echelle de 1/7e. (D’après nature.)
Fig. 11. Fragment d’une branche de Stigmaria, où l’on voit le caractère des tubercules sur lesquels s’articulent les bases des feuilles. L’augmentation de volume que l’on observe à la base de ces feuilles paraît avoir été destiné à rendre cette portion plus solide, et à fournir l’espace nécessaire pour recevoir la cavité articulaire. Cette cavité, dans laquelle le tubercule était reçu, formait avec lui une articulation par enarthrose, qui laissait aux longues feuilles cylindriques flottant dans les eaux la liberté de se mouvoir dans tous les sens. — Échelle de 1/2. (D’après Sternberg.)



Planche 56a, t. I, p. 426 et suivantes.


Apparences que présentent des coupes longitudinales et transversales de bois de conifères récens et fossiles, coupés en lames minces, et grossis quatre cents fois. (D’après Nicol.)

Fig. 1. Coupe longitudinale d’un Pinus strobus, parallèlement à un rayon médullaire.
Fig. 2. Coupe transversale du même.
a, a. Portions des cercles concentriques annuels.
Fig. 3. Coupe longitudinale de l’Araucaria Conybearii.
Fig. 4. Coupe transversale du même.
Fig. 5. Coupe longitudinale de l’Araucaria excelsa, faisant