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les os dans plusieurs points de la fig. 1. (Figure originale.)
Fig. 5. Dessin amplifié de semblables tubercules dentiformes d’émail, formant le chagrin de la peau de la tête du Squatina angelus moderne. Voyez t. I, p. 252, note (Figure originale.)



Planche 27f, t. I, p. 252.


Beau groupe de dents palatines du Ptychodus polygyrus de la craie. Des dents isolées de plusieurs espèces de ce genre abondent dans la formation crétacée. Laiouche de ces poissons, ainsi que celle de toutes les autres nombreuses espèces perdues de squales de la famille des Cestracions, était pavée de semblables dents puissantes, formant un appareil très propre à briser les coquilles des crustacés et des conchifères, qui probablement formaient leur nourriture principale. La surface de l’émail est souvent usée, comme dans la planche 27e fig. 3. La force et l’effet qu’ont dû produire ces dents, considérées comme des instrumens destinés à briser des coquilles, sont très remarquables. Au dessous de l’émail, le corps de chacune est formé par une forte masse osseuse. (Miss. F. C. Burgon. Figure originale.)



Planche 28, t. I, p. 265.


1. Le calmar commun. (Loligo vulgaris Lam. Sepia loligo Lin.)On voit la place qu’occupe le conduit excréteur du réservoir d’encre, et la disposition des bras, au bord antérieur de la tête. (Blainville.)
2. La penne du Loligo vulgaris, vue de côté, pour faire voir la position qu’elle a dans la portion dorsale du corps de l’animal. (D’après nature.)