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57-58. Phalanges du premier doigt.
59-61. Phalanges du second doigt.
62-65. Phalanges du troisième doigt
66-70. Phalanges du quatrième doigt.
71-74. Phalanges du cinquième doigt.
δ. Empreintes de la membrane alaire[1].
Planche 22, t. I, p. 193.
A. Restauration du squelette du Pterodactylus crassirostris. (Goldfuss.)
B. Pied de devant d’un lézard. (Cuvier.)
C. Restauration du pied droit antérieur ou main droite du Pterodactylus crassirostris. (Goldfuss.)
D. Pied droit antérieur ou main du Pterodactylus longirostris. (Cuvier et Sœmmerring.)
E. Pied de devant du Pterodactylus macronix.(Buckland, Géol. trans. Lond. (2e série, v. III, pl. 27.)
F. Pied de derrière d’un lézard. (Cuvier, Oss. foss., 1er vol., 2e partie. Planche 17.)
G. Pied droit du Pterodactylus crassirostris, rétabli conjecturalement par le docteur Goldfuss. L’échantillon fossile N ne semble pas autoriser cette hypothèse.
H. Pied droit du Pterodactylus longirostris. (Cuvier.)
I. Pied du Pterodactylus macronyx. (Buckland.) K.
Pied de derrière d’une chauve-souris.
- ↑ Le professeur Agassis pense que les rugosités de la surface de la pierre (δ), que le docteur Goldfuss suppose être des empreintes de poils ou de plumes, sont seulement des impressions formées par les petits replis de la membrane de l’aile. Il est probable que les Ptérodactyles avaient la peau nue comme l’Ichlhyosaure (voy. pl. 10 A), par la raison que le poids des écailles aurait gêné leurs mouvemens dans l’air.
