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• »» « • ̃ t ̃ ;̃̃ *̃ :•̃ ̃ ̃ "aP >»*. 42H. SumiDorum IVmiifioim EpistoU*. «’*»{ 131. PV 13*. h :{d Cam y rmquU Boluxius, <&& nobiU M* et ceMerrimum Bom/ocu WH apopktegma*. Romanus Pontifex jum omnia in scrinio pectoris sui censetur habere. sfttamen eam non fuisse omnium

Sedis y/posiolicm Pontijicum sententiam 

probari potest auctoritaU Sjrivûtri qui, si ^utasst* ont-’lia jura contineri in scrinio ~pèi>^ torts sui expectorasset statim responsionem ad inquisitiones Ab- J t>attsy neque recurrisset ad’ fri- J w/fl"’ *« et inutitem excusa- < tionem de absent™ librorum suo- t 42H mm. Denique in Balla pro Sta- c hulcnsi Monàsterio SUvester se inscribU Papam UniversaUm et A^ n-crpto. Aam vel ab ineunte sœcui ’nominum, donabant Romanum Episc jam sub Jincm^sscculi ym, ut observa 3’» V/V. (Jninta harum est r.rcçorii Papx ad Constan- es tuim rIt (ia/liarum Reginam. t’e- R mm falsitatis nonnnc suspecta lu rtdt’tur hjv ? inscriptio. Constan- Q tiam enim Robcrtu Régi nuplam Un fuisse jarn anno »J98 vue ac ne 1{( vu t/uidetn rredidrri/nus eu/ et Kl. lieslio (t Cossartio. J/ic euisti- Le mat Epistolam Silvcstri att Ar- clli nulfum Archicpiscopum Re- vet ̃mensem, non Silvcstri, sed Gre- Gui gurii esse, et Librarii sive ituci- Ja tia sive incuria mendutn hoc ir- ne repsisse. Quidni autan aliquod se» Mtmile dicerctur de Gregarii Epis- Le to/a ? liemdtctus VIU Papa in du gratiam Cluniacensis Monasterii coi, scnpsii anno 1016, ut eonjici- non mus tum ex nominibus Gallica- toul ttr~uy~nt !f~i,sropurttm~ rtc ~rrrt~esrr- j,~11 /m/^m Episcoporum, ac priser- Lan tûn /iïmlterti Ungonum An- ctoil 1 ttstitts eu jus ^decessor Bruno du anno 1015 ohiera^titm^ex iti- parf, nen- Roberti Régis Romu«^in~> y htu EpUtola mefnoruto. Çuod^t itérante annum 1017 peractum tajj» ~y, ï *"̃̃*̃̃ ̃ h*, %^c$tip eûteru que tous les droit* étaient nid$ au qoe km lm «^ renvoies au dedans de lui-même, il ^.auroît répondu dans le moment aux mus questions de l’Abbé,’ et n’auroit pas mio eu recours à cette frivole et inutile ère. excuse, tirée de /absence de ses Ii-

  • um vres. Knfin à la tète dme Bulle pour

le Monastère de Stavelo # Silvestre tau ’prend la qualité de Pape Univeîiel^ »«- d’ApostoUque ; mais, il ne le fait qu’en ^^conséquence d’un usage déjà établi. t*m Car le commencement du x siècle < les Evéqiie^de Bavière donloient à rn- TEvéque de Rome remier de ces r«- deux titres. Il le portoit^me dès la

  • o- fin du vui siècle, selon la’ rema>due^

’«- deD. Rivet. se .̃•̃̃ et Apostolicum ; sed Utud agit pro more tune sxculo x Bavari* Prsesules priori /forum Episcopuni imo idem Pontifexsic dkebatur bservat Rivettts. st XL1X. La cinquiéme de celles-ci est du Pape Grégoire V à Constance e- Reine des Gaules. Mais cette inscripa tum i>aix)ît être suspecte de fausseté. »- Ou- nous ne pouvons croire que Cons» lauce l’an 998 ait été déjà mariée au e Roi. Robert, comme le pensent Besly « et (^ssart. (> deruîer estime que la Lettre de Silvestre II à Arnoul Archevàjue de Reims, n’est pas de Silvcslrc, mais de Grégoire, et que cette faute s’est lissée par l’ignorance ou la négligence du Copiste.* t Pourquoi ne d,r«o»s-nous pas quelque chose de semblable de la Lettre de Grégoire > Le Pape Benoît V11I écrivit en faveur du Monastère de Cluni l’an 1016 comme nous le conjecturons, soit des noms des Evèques François, et surtout de celui de Lambert Evèque de Langues,- dont le prédécesseur Brunon étoit mort en 1015 ; soit du voyage du Roi Robert à Rome, dont il est parlé dans cette Lettre. Il est clair que.cejoyage se fit avant t l’année 1017 • akT ! lihd€ Robert et de Confr ]an«< n^eUras encore Roi pour