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semaine, la fête commençait parmi le tohu-bohu des voitures, des arrivées et des rencontres, dans la fièvre des paris et du luxe, au milieu d’une sorte de campement en un village, dont quelques auberges et cent maisons devaient suffire à loger des multitudes de chevaux avec leurs grooms et leurs cochers, des véhicules de toutes les formes, hauts et encombrants comme des araignées à roues, ou vases et pesants au contraire, sans compter la « gentry », les « fashionables », les « quarts d’agent de change », ou les jeunes héros retour de Crimée, pour ne rien dire même des dames qui les accompagnaient et des folles crinolines au milieu desquelles se pavanaient ces effrontées. On se casait pêle-mêle, comme on pouvait, et soupers, parties fines, feux d’artifice, griseries de cham-