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« Plus de nids !… plus de vents dans l’air,
Secouant à flots mon feuillage !
La hache a, comme un pâle éclair,
Frappé mon tronc durci par l’âge ;

« Et, traîné des vallons charmants
Au chantier brutal des banlieues,
J’ai senti mes os, par moments,
Crier sous la scie aux dents bleues !… »

— La pauvre bûche pleure encor ;
Mais déjà, dans ses mille étreintes,
Le feu, comme un grand poulpe d’or,
Fait, sans pitié, mourir ses plaintes !

L’âme légère du vieux bois,
Moitié brise et moitié rosée,
Libre pour la première fois,
Flotte sur la cendre embrasée !…