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Pour un’ fois, mon Moko !
Oh ! Oh !
Que sacré p’tit Moko !

Mais v’ià qu’par tribord arrière
Je r’çois un coup d’flingot…
L’moko, me voyant par terre,
Vir’ de bord aussitôt ;
J’y dis : « Leur drapeau
Faut pas leur-z-y rendre :
Adieu ! cavale au galop !
J’te défends de m’défendre !
Entends-tu, cré Moko !
Oh ! Oh !
Que sacré p’tit Moko !