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Mais, un jour s’il venait à fondre sur la France
Quelque lâche Ennemi méditant son déclin,
Le cœur de Du Guesclin, ressuscité soudain,
Nous jetterait son cri de Guerre et d’Espérance :

le Cœur

Notre-Dame-Gucsclin !

les bretons

Notre-Dame-Gucsclin !!!

(Dinan, le 20 juillet 1902.)