Page:Botrel - Coups de clairon, 1903.djvu/191

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Il dort en l’oubli des misères…
Mais, comme il se réveille, au jour,
Au bruit de deux ailes légères
Et d’un roucoulement d’amour,

Il voit que la colombe blanche
Dépose en son pauvre soulier,
Du bout de son bec, une branche,
Un petit rameau d’olivier !

   

envoi

Petite Reine, douce et belle,
Du pauvre vaincu soucieux