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I

C’est une vaillante Bretonne
De près de soixante et sept ans,
Dont le reverdissant Automne
Nargue les Hivers attristants.
Dans le pays on la vénère ;
Mais, moi, je l’adore avec foi :
Si vous connaissiez ma grand’mère,
Vous l’adoreriez comme moi.
Vous Tout comme moi !