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un brelan d’excommuniés

cette société soi-disant chrétienne ne mange-t-elle pas les cuistres ou les imbéciles que sa discernante médiocrité lui fait épouser ! Elle les prend sur ses genoux, ces Benjamins de son cœur, elle les dorlote, les mignotte, les cajole, les becquette, les bichonne, les chouchoute, les chérit comme ses petits boyaux ! Elle en est assotée, coqueluchée, embéguinée de la tête aux pieds ! C’est une osculation et une lècherie sans fin ni rassasiement !


Qu’on se souvienne seulement du récent prodige, raconté par tous les journaux, d’une audience accordée par le Saint Père à cette raclure de dépotoir, à ce résidu d’abcès anticlérical, — dont il faut se garder à tout prix d’écrire le nom diffamant, — que la plus élémentaire pudeur ecclésiastique aurait dû condamner au silence éternel, si sa prétendue conversion n’était pas une sacrilège matassinade, mais