Page:Bloy - Un brelan d'Excommuniés, Savigne, 1889.djvu/113

Cette page a été validée par deux contributeurs.


IV


Tout à l’heure, je nommais Baudelaire, parce que toute celsitude poétique invoque nécessairement ce sommet de la poésie moderne. Mais il ne saurait être question d’aucun parallèle. Verlaine parle la langue de Baudelaire puisqu’il n’existe plus d’autre langue pour un artiste, mais il n’est pas son disciple et ce qui les sépare semble aussi profond que l’éternité.

Baudelaire fut un rebelle atroce et navré,