nieuse, il ne se trouvera pas un être humain capable de dire ce que tu as écrit ou ce que tu n’as pas écrit ; et qu’un peu plus tard, tes acheteurs s’évanouissant et les goguenots eux-mêmes découragés par l’immensité de ton bouillon, tu deviendras une très mauvaise affaire ?
Triste Zola, il ne te restera plus que les Pères Augustins de l’Assomption et leur « trou d’balle[1] » !
Ceux-là, j’ose l’espérer, connaîtront bientôt ce qu’ils te doivent et seront peut-être, — ayant, enfin ! lâché leurs soutanes, — tes derniers lecteurs.
Ici, Émile, tu ne comprendrais plus. Je te lâche donc et je parle à d’autres.
Il faudrait une parole plus qu’humaine pour apprécier comme il faut l’avilissement sacerdotal représenté par ces effroyables religieux. Le scandale récent du journal La
- ↑ Voir plus haut, page 132. Même maison, Pèlerin, 24 septembre. En tête, l’Image de Marie au-dessous des mots : « Adveniat regnum tuum » et, en queue, un vaste pot de chambre. Idée du Père Bailly.