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cide, mais comme goujat, simplement, comme amant félon et discourtois, péché d’omission dont nul texte pénal ne s’était encore avisé. La chose est si certaine que tout l’effort des contradictoires plaidoiries a été poussé de ce côté-là.

Et le plus drôle, c’est qu’il est tout à fait inutile de présumer, en cette affaire, l’influence des femmes qu’on pourrait soupçonner d’avoir sentimentalement égaré la justice. La turbulente sensibilité des hommes a très-amplement suffi et l’inquiétude inavouée de ce sexe fort doit, tout de même, donner à penser.

Il est certain que le procès Fouroux a remué des vases profondes qui risquaient d’altérer l’azur d’une multitude prodigieuse d’hypocrisies inconscientes. Soudainement, on s’est senti très-canaille, très-malpropre, très-infanticide !…

Les joueurs de manille les plus idiots, les plus encloués, ont obscurément compris que le maire de Toulon les représentait aux assises, comme en un miroir concave, et l’épouvante les a rendus implacables.

C’est pour cette raison sans doute que, d’un tacite et universel accord, on a écarté le point essentiel dont l’indiscrète analyse aurait pu désengourdir d’anciens crotales ou de vieux vampires dans des cœurs absous par l’impunité.

Les manœuvres abortives sont implicitement