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PRÉFACE III

second volume de ce Recueil. Passons aux observations spéciales.

Sous le titre de Romances, je donne d’abord, dans la Première partie (p. i-ijj) ; quarante-et-une compositions, très variées, au double point de vue du sentiment et du rythme. Il en est de même des dix-neuf Chansons d’amour (p. 1^6-21"/) qui leur font suite, et où, m’a paru dominer davantage le sentiment qui leur a fait assigner une place à part. Aucune de ces deux classes de poésies ne réclame d’explications particulières.

Il n’eu est pas de même des dix-neuf Chansons de travail (p.220-2yi) qui sont en tête de la Deuxième partie. // s’agit ici, bien entendu, de compositions appivpriées à des tâches d’une nature spéciale, et iwn de celles dont on fait indistinctement usage dans tous les genres de labeur.

Ce sont d’abord les Chansons de lavandières (p. 220-22^), scandées par les battoirs frappant en cadence, à l’ombre des saules, le long des ruisseaux, bordés de prêles et de joncs.

Puis, c’est la Chanson de la vigne (p. 224-22’]),