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Et comme un lâche, aux pieds d’Omphale,
En souillant de pleurs pénitents
Sa peau de lion triomphale,
File un linceul pour les Titans ;

Quand la gloire de mal en pire
Tombe et s’achève en carnaval ;
Quand les grands hommes de l’empire
Sont éclipsés par un cheval ;

Quand la France assiste au scandale
D’une querelle d’Allemands
Sur l’amputation caudale
Des renards gascons et normands ;