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DE BEBELIUS

que ceux de l’empereur romain lui-même ! »

Il entendait par là ses poux, qui le dévoraient. Il les qualifiait aussi de gardiens, et disait qu’ils avaient soin de ne pas le laisser dormir trop longtemps. Quelqu’un lui demandait :

— « Comment peux-tu endurer tant de poux ? »

Il répliqua :

— « Par esprit de charité. Je suis trop pauvre pour donner à manger à mes semblables : alors, je me rattrape en nourrissant les poux, qui sont également des créatures du bon Dieu ! »


63. — LE COUTEAU DE LA PUCELLE[1]

Un jouvenceau menace une fille de lui rendre visite, la nuit suivante, en tapinois.

Elle fait semblant de se fâcher :

  1. Livre III, 143. De puella quadam.