Aucun n’a eu cette joie-là.
Scène XIV
Tous vos efforts sont inutiles ; vous êtes perdue, madame, et votre heure est bien arrivée ! (Il sort sans regarder.) Quel bonheur qu’aucun gage d’une union aussi détestée…
Chérubin !
Mon page ?
Ha ! ha !
Et toujours le page endiablé ! (À Chérubin.) Que faisiez-vous dans ce salon ?
Je me cachais, comme vous me l’avez ordonné.
Bien la peine de crever un cheval !
Entres-y, Antonio ; conduis devant son juge l’infâme qui m’a déshonoré.
C’est madame que vous y-y cherchez ?
L’y a, parguenne, une bonne Providence ! vous en avez tant fait dans le pays…
Entre donc !
Scène XV
Vous allez voir, messieurs, que le page n’y était pas seul.
Mon sort eût été trop cruel, si quelque âme sensible n’en eût adouci l’amertume.
Scène XVI
Allons, madame, il ne faut pas vous faire prier pour en sortir, puisqu’on sait que vous y êtes entrée.
La petite cousine !
Ha ! ha !
Fanchette !
Ah ! palsambleu, monseigneur, il est gaillard de me choisir pour montrer à la compagnie que c’est ma fille qui cause tout ce train-là !
Qui la savait là-dedans ?
Permettez, monsieur le comte, ceci n’est pas plus clair. Je suis de sang-froid, moi.
Voilà une affaire au-aussi trop embrouillée.
Scène XVII
Ne craignez rien, madame, il ne vous sera fait aucun mal. J’en réponds. (Il se retourne et s’écrie :) Marceline !…
Ha ! Ha !
Hé ! quelle folie ! ma mère en est ?
À qui pis fera.
Que m’importe à moi ? La comtesse…
Scène XVIII
… Ah ! la voici qui sort. (Il la prend violemment par le bras.) Que croyez-vous, messieurs, que mérite une odieuse…
Non, non.
Non, non.
Non, non.
Y fussiez-vous un cent !
Scène XIX
Au moins je ferai nombre.