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TABLE DES MATIÈRES.

son père. I. 487. Ses Devises royales. Là même.

* Amboise (François d’). I. 486. Se trompe quand il croit qu’Accurse a parlé d’Abélard. I. 64.

Amboise (Jacques). I. 492.

* Amboise (Michel). I. 493.

Ambres, château. Il est faux que François Ier. y ait été transporté. VI. 581. Le maréchal de Villeroi y est enfermé. Là même.

Ambroise (Saint). Son Apologie de la conduite de Sara et d’Abraham. XIII. 113. Comment il en usa envers Théodose. III. 6.

Ambroise de Camaldoli. V. Camaldoli.

Ambrosiens. Titre que quelques sorciers de Nanci en Lorraine se donnaient. VII. 9.

Ambrun (l’archevêque d’). Présente une requête au roi contre les jansénistes. XII. 305.

Âme humaine, convertie en astre par les païens. II. 130. Elle est un être aérien selon Anaxagoras. 23. Et selon Diogène le physicien. V. 538. Et une portion de la substance de Dieu selon Césalpin. 19. Le dogme de la propagation des âmes durait encore à la fin du XIe. siècle. II. 122. C’est une question très-obscure que celle de l’origine de l’âme. II. 536. Sa mortalité enseignée par Averroës. 540. Ce que c’est selon le même Averroës. IV. 441. Ce que saint Bernard a cru de son état. lorsqu’elle est séparée du corps. III. 361. De quelle nature est la preuve tirée de l’apparition d’une âme pour son immortalité. 550. Tout le monde ne convient pas qu’il y ait une liaison nécessaire entre son immortalité et la providence de Dieu. V. 32. Diversités notables de sa force. 97. Les plus fortes preuves de son immortalité sont tirées de la parole de Dieu. 103. Si l’on peut soutenir son éternité en suivant les sentimens d’Aristote. 322. Objection contre Dicéarque qui ne voulait point qu’elle fût distincte du corps. 507. Objections à objection contre Dicéarque 512. Est distincte de toutes les modifications du corps, qui soient venues à notre connaissance. 514. Où il faudrait chercher le principe des plus grandes âmes sans la révélation. 540. S’il est possible que l’âme, étant séparée du corps, souffre la même douleur que l’on souffre quand on se brûle. VI. 182. Sentimens impies sur sa mortalité. VIII. 4. La plupart des philosophes païens supposaient qu’elle est corporelle. 537. Était composée de plusieurs parties selon la doctrine d’Épicure. IX. 200. D’autres philosophes se sont partagés sur ce sujet. Là même. Dès qu’on nie qu’elle soit une substance distincte de la matière, on raisonne puérilement, si l’on ne suppose pas que tout l’Univers est animé. 514. Ce qu’elle devient quand l’homme meurt, selon le système d’Épicure. 530. Si elle est sujette à certaines maladies tout comme le corps. 574. Opinion de Luther sur l’état de l’âme après cette vie. Là même. Si elle se sépare localement du corps, dans le moment que l’homme expire. XI. 50. Elle a d’étranges inégalités. 54. Les anciens philosophes l’ont crue matérielle dans les hommes et dans les bêtes. XI. 554. Pensées sur son immortalité. 644. Si Dieu crée une nouvelle âme, ou s’il reproduit là même. XII. 105. Si l’on peut prouver son immortalité par de bonnes raisons naturelles. 229, 242. Si le dogme de sa mortalité porterait les hommes à toutes sortes de crimes. 242. Idée que les païens en avaient. XII. 353. Si l’âme, en s’unissant avec la matière, se peut bâtir elle-même un logis organisé. XIII. 237. Son unité dans tous les hommes enseignée par quelques philosophes. 451. Si un spinosiste doit la croire immortelle, et sujette aux caprices de quelque persécuteur invisible. 455. Sa capacité à se tourner alternativement d’un côté et d’autre. XIII. 568. Francus prétendait que les bêtes et les créatures inanimées participaient à une âme générale divine. VI. 587. Trop assujettie aux qualités corporelles par J. Huarte. VIII. 293.

Âme des bêtes. Anaxagoras disait qu’elle était intelligente, et lui donnait le même nom qu’il avait donné à Dieu. II. 36. Césalpin disait qu’elle’ était une portion de la substance de Dieu. V. 19. Auteurs qui ont cru qu’elle est raisonnable. XII. 611.