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NOTES ET ÉCLAIRCISSEMENTS.


Le cantique du Paradis, dont l’air est aussi suave et aussi charmant que les paroles (V. les Mélodies, p. 56) nous a été chanté pour la première fois, par une mendiante assise au pied d’une croix, au bord d’un chemin. La pauvre femme avait peine à contenir son émotion, et pleurait en nous le chantant. Dieu nous donnait en elle un symbole touchant de la piété des Bretons.


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